Une fille à croquer... hmmm

Élève :

Nom : Maaka
Prénom : Ayubi
Surnom : Ayu ou dark-moon
Rang personnalisé: petite lycéenne innocente
Âge : 18 ans

Aime : Les mangas, le silence, la mer, la neige, le chocolat, la chantilly, sentir la pluie couler sur son visage, la gymnastique rythmique, la fête, es balades au bord de l’eau, les couchés de soleil, la pleine lune, les virées entre amis, les nuits blanches, le silence et la tranquillité, les fêtes, la danse, la moto, les courses et surtout, les mecs…

Déteste : la noix de coco, les kiwis, les choux de Bruxelles, les épinards sans crème, les coups d’un soir, le hard-rock, qu’un homme s’approche trop d’elle, les égoïstes, les machos, les pervers, sa mère, son oncle, la noix de coco, le chocolat noir, les filles qui se la racontent, les vantards, le désordre absolu ( un petit désordre de chambre passe mais pas un foutoir ), l’alcool car elle n’a pas besoin de cela pour s’amuser…

Description physique : Mesurant 1m60, Ayubi n’est pas très grande. Elle pèse environ 55kg et possède une agilité très sensuelle et impressionnante, digne des félins. Elle a des yeux d’un violet très pur et des cheveux d’un violet foncé assez pâle, s’approchant de celui de ses yeux, et très long. Elle les porte toujours décoiffés mais lorsqu’elle se bat, elle aime bien les attacher en chignon ou queue de cheval haute. Elle est plutôt petite pour son age et normal en corpulence mais elle à des formes qui la mette en valeur, son corps est comme sculpté par les anges. Son sourire et très doux et magnifique et son regard ensorcèle tout homme qui le croise. Sa peau est de couleur crème, légèrement foncé et très douce au toucher. Ses gestes sont très gracieux et délicat, ce qui parfois lui serre pour envoûter un jeune homme. Elle porte la tenue réglementaire du pensionnat mais son cou reste décoré d’un collier. Elle est très souple et sait charmer un homme si elle le désir par des talents de danseuse orientale. Elle a une voix mélodieuse et très agréable, troublant par moment les plus téméraires.

Description psychologique : A première vue, Ayubi est une fille assez facile et très naïve mais c'est tout le contraire. Elle a un très fort caractère, mais n'est pas rancunière. Elle aime bien la tranquillité, le calme et la paix mais cela n'empêche qu'elle s'amuse de temps en temps. Elle possède le déhancher de sa grand-mère, grande danseuse orientale et la grâce et la souplesse de sa mère, gymnaste professionnelle. Elle est très organisée, mais pas au point d'être une maniaque du rangement ou alors le genre à vouloir tout contrôler. Si elle a des amis, elle les aide lorsqu'ils ont besoin d'elle et est toujours à leur écoute. Si une personne se sent triste, elle est capable de faire le pitre juste pour faire rire cette dernière. C'est une fille très pudique, elle n'aime pas montrer son corps même si se retrouver en maillot de bain ne la dérange pas. C'est aussi une fille très timide qui a du mal à s'intégrer car elle a peu de confiance en elle mais elle fait tout pour changer cela.

Histoire : C’est en hiver qu’Ayubi vit le jour, pendant une nuit de dure labeur pour sa mère et de bonheur pour les autres car, c’était noël et la neige tombait délicatement sur le jardin du manoir. La petite était rentrée chez elle deux jours après, déposé dans son berceau, installé dans sa chambre. Cette chambre avait été faite pour un garçon car comme l’espérait son père, il voulait qu’Ayubi soit un garçon mais se fut une fille. Enfin, l’histoire est plus complexe que cela. Sa mère était enceinte de faux jumeaux mais lors de l’accouchement, le jumeau d’Ayubi qui était un garçon, mourut pour permettre à sa sœur de vivre. Etrangement, lorsqu’il fit un tel geste pour sa sœur, cette dernière changea totalement. En effet, pendant sa grossesse, la mère d’Ayubi avait faillit la perdre à plusieurs reprise. Ce fut un calvaire pour sa mère ces neuf derniers mois car elle avait dut passer la plupart de ses journées à l’hôpital. Un soulagement et une déception pour cette dernière à la vu de ses enfants, dont un décédé.

Lorsque Ayubi fut âgée de 8 ans, elle était n voiture avec sa mère en route pour un magasin de jouet. La petite gamine complètement gâtée, voulait des tonnes et des tonnes de jouets mais pas pour elle. Cette gamine qui pouvait avoir tous ce qu’elle désirait n’était pas comme les autres, elle était aller acheter tellement de jouets avec sa mère pour un orphelinat. En voyant ces enfants, Ayubi avait voulut offrir à chacun d’eux, le bonheur qu’elle ressentait à l’ouverture de ses cadeaux. C’était un tel bonheur qu’elle avait, mais ce qui faisait toute la magie de noël était que c’était son anniversaire. Enfin en parenthèse car ce qui faisait toute la magie de noël pour la petite Ayubi était la présence de ses parents qui allait changer.

Agée de 16ans, Ayubi allait toujours voir les orphelins de l’établissement qu’elle avait aidé à rénover avec l’aide de tous les enfants. En rentrant de l’orphelinat avec sa mère, cette dernière voulue faire plaisir à sa fille, l’emmenant dans une bijouterie. Elle voulait lui offrir un collier qu’elle avait demandé. Ayubi était une excellente dessinatrice, elle savait manier le crayon comme personne. Etant tombé sur un bijou dessiné par sa fille, elle décida de le créé et de lui offrir. Arrivé à la bijouterie, la porte à peine fermée, un homme entra, armé. Regardant l’arme, Ayubi commença à paniquer et gardant son calme, la mère d’Ayubi resta près de sa fille. L’homme regardant Ayubi, se mit à sourire et s’approcher d’elle. Sa mère obligée de s’écarter, l’homme voulu entraîner Ayubi dans l’arrière salle mais s’opposant à lui, sa mère vint le défendre. Pendant ce brouhaha, un coup de feu se fit entendre et l’homme partant en courant, Ayubi rattrapa le corps tombant de sa mère. Elle venait de recevoir ce coup en plein ventre. Appelant d’urgence une ambulance, la mère d’Ayubi mourut dans ses bras, avant même que les secours n’arrivent.

Deux ans après, son père ne pouvant supporter de rester avec sa fille, ressemblant trop à sa mère, l’envoya dans un pensionnat. Elle détestait partir de sa maison car les souvenirs de sa mère s’y trouvaient. Avant de partir en limousine pour ce pensionnat dont elle ne savait rien, le bijoutier retrouva Ayubi et lui tendit une boite. La voiture démarrant rapidement, Ayubi observa le collier qu’elle avait dessiné avec un petit mot disant : « ta mère avait demandé que l’on fasse ce collier pour toi mais elle n’a pas put te le mettre en main propre ». Laissant ses larmes couler, le chauffeur ne lui laissa pas de répit et lui lança une tenue obligatoire pour le pensionnat. C’était une jupe arrivant en dessous des genoux, d'un bleu indigo, accompagné d'un chemisier blanc qui était recouvert d'un gilet et représentant l'emblème de cette école, un petit nœud papillon. Fermant la vitre teintée, elle s’habilla rapidement dans la Limousine avant d’arriver au pensionnat.